Maman, je t’emm***

AUjourd’hui alors que je me suis couchée tard hier(genre 1h du mat) et que j’ai du me lever tot(genre 6h), sans trop de difficultés (il a fallu qu’une charge de cavalerie, sabre au clair mit clairon pour me faire lever), alors que pour une fois on sort de la maison AVANT 7h, que c’est tres bien, vu que j’ai examen super important à 8h45; qu’on embarque une petite chafouine, rapport a la fievre de pratiquement 39° qu’ellle se tappe (quitte à être malade, autant l’être convenablement, merci chérie), gaillardement donc, on est route.

Apres 10minutes de trajet, d’un coup, on entend une petite voix derrière:”j’aime pas l’odeur de la voiture. J’aime pas l’odeur de la voiture je vais vomir”.
Evidement, on est sur une nationale, rapide, et si on voulait se rabattre en catastrophe, pas possible, un cycliste ayant décidé d’etre justement à cet endroit.

Alors qu’on la supplie d’attendre un peu qu’on va s’arreter tres tres vite, premier bleuarghh.
Le temps de parvenir a se rabattre en catastrophe, deuxieme geyser, puissant, qui éclabousse tout ce que le premier n’avait pas pu atteindre.
Je sors de la voiture regarder les dégats, y en a partout y compris sur elle, son siege et le lapinou. Le temps de la nettoyer, on a bien perdu facile 10minutes, réduisant notre avance a peau de chagrin, j’ai les mains qui sentent le vieux bib au chocolat/vanille vomis apres une demie heure et l’énervement qui atteind des sommets.

Je suis arrivée deux minutes en retard a mon examen. J’ai dû déployer des trésors d’ingéniosité pour arriver à presque l’heure.
Quand j’ai rendu mon examen, a voir la tete de ma prof, mon pull devait encore sentir le vomi.
Ca c’est la classe internationale…

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