You touch mes courbatures

Oh yeah, je viens de rentrer d’un week end anniversaire amoureux très sportif.
En plus d’avoir fait du ski, en ne tombant qu’une seule fois, et même que je me suis rattrapée à temps, que du coup, j’me suis même pas vautrée comme une grosse merde, y avait des tas de supers choses à faire.

Comme manger: raclette, poulet ticka, viande rouge avec petite sauce échalotes/crème *bave*, crèpes, toussa fait maison par nos soins (enfin surtout ceux de Merlin hein, moi j’m’occupais juste des trucs qui font pleurer), bref, ca faisait quasiment we gatronomique (et aucune chance de maigrir pour moi), rien que d’y penser, j’en salive encore.

On pouvait aussi faire du sport: tir à l’arc, plouf plouf dans le complexe aquatique du center parc qui comprennait toboggan, rivière sauvage, piscine à vague, piscine exterieure mit piscine d’eau froide (ravigorant, un bon coup de fouet pour le coeur), bain a bulles, solarium, et nombre d’enfants a noyer pour esperer avoir un peu la paix.
Bref, moyen d’y passer un super bon temps, dans une eau a 30° et le dernier jour à pouvoir contempler depuis la piscine exterieure la plaque de neige qu’il restait dans la pelouse, parce que oui, il avait bien neiger pendant la nuit de dimanche à lundi.
Tester aussi le bonheur d’etre dans cette eau bien chaude avec tuba, tandis qu’au dessus de soi, il pleut froid et pas qu’un peu.
Le seul inconvéniant du truc, c’est qu’il faut faire la vidange du tuba de temps en temps.

Raaaaaaaaaah le ski, quelle joie de retrouver cette sensation de glisse, et un super matériel (tu m’étonnes, ca faisait plus de dix ans que j’avais mis les pieds sur des skis), même que je deviens de plus en plus douée pour mettre ces p*t*n de chaussures.
Et pour nous, -5°, pas trop de monde et la joie de pouvoir essayer d’appréhender un parallèle correct, (peine perdue pour moi, je suis toujours avec mon hybride, moitié parallèle, moitié chépatrokwa).
Bref, a raison de deux fois 1h30, on a eu le temps de tester et de courbaturer.

Le tir à l’arc? Ben, le matos de protection pour moi il sert a rien; malgré sa pose sur mon ti bras, j’ai morflé sévere et arbore un beau bleu de la taille d’un point au niveau du coude, dû a parait-il une malformation de mes bras, d’apres mon Chéri d’amour.
Namour qui est d’ailleurs la réincarnation de Robin des Bois, vu qu’il a terminer premier. Ouais, mais moi je suis troisième chez les femmes, malgré bon nombre de fleches envoyées n’importe ou (ouais, dans le cul du voleur aussi)

Le parcours “high adventure”? Ben les doigts dans le nez, ouais ouais, même pas le vertige ni rien, malgré les 6metres de hauteur, le vent, la pluie, la neige, la grèle, le soleil dans la goule (ouais, les giboulées, c’est aussi une spécialité des Pays Bas), ouaip, en plus j’étais la première, c’était le troisième jour, j’avais déjà des courbatures le matin avant de partir au ski, lever les bras relevait du miracle, et me v’la embarquer dans un ptit tour de ponts de singes et autres cordes plus sadiques les uns que les autres, avec un équilibre douteux, surtout avec le vent et un casque qui tombe toujours sur les yeux au mauvais moment.
Mais malgré toutes les difficultées, j’y suis arrivée, ouais, j’ai même pas été bloquée dix minutes sur un passage difficile, sans plus aucune force dans les bras, ni rien, et ce n’est pas moi qui me suis explosée sur le poteau a l’arrivée de la death ride, (mais je voulais pas freiner moi, sniff).

Bref, que du bonheur pendant ces quelques jours, loin de Laglue© qui ne m’a même pas manquée, sisisi, c’est vrai, dans un ptit “cottage” confortable, avec une belle vue sur la nature, des promenades dans les bois, des courbatures plus douloureuses les unes que les autres, de déplacements lents et arthritiques et de fous rires généreux.

Et pour conclure, j’ai encore une chose a dire: Merchi Namour de ma vie, pour ce merveilleux week end, dommage qu’on n’ait pas 25 ans tous les ans

One thought on “You touch mes courbatures”

  1. Tir à l’arc: faut dire que tu es gauchères et as utilisé un arc de droitier. Et puis tu t’es nettement améliorée au fur et à mesure du concours. En ce qui me concerne, j’ai adoré tirer avec du bon matériel. Dans les fêtes foraines, les flèches sont tordues, les arc de travers, les cordes usées. Ici, c’était nickel. Un régal.

    Pour le poteau au death ride, le type m’explique comment m’attacher et puis me dit de faire "1, 2, 3" et de sauter. Moi, j’obéis. Je saute directement, sans peur, sans crainte ni appréhension et évidemment, j’arrive à fond la caisse sur la cabane d’arrivée. J’ai amorti le choc avec mes pieds mais ça a fait un peu mal quand même. Evidemment, après ce coup-là, le moniteur ne voulait plus prendre trop de risques…
    En fait, nous n’avons absolument pas le vertige. On adore fait les équilibristes quand on est attachés correctement.

    Concernant le cottage avec vue sur la nature, précisons qu’on avait une terrasse avec un peu de pelouse et qq arbres puis un bras de canal. On a vu des écureuils, des lapins, des canards, des oiseaux en tous genres…

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