Pour ne pas changer

Et bien oui, je suis encore malade. Une bonne grosse sinusite de derrière les fagots, purulente, qui réduit ma capacité pulmonaire à peau de chagrin et laisse mon neurone battre la campagne à tel point que même mes profs me disent de rentrer chez moi.
Ouais, tout ca parce que j’avais du mal a comprendre la différence entre un int et un char pour une méthode qui devait faire un indexof du dit char.

Alors outre le fait que j’ai un teint cadavérique avancé, que je passe du chaud au froid, que je me mouche continuellement fort, c’est mieux et que entre chaque souffle j’ai la tête qui tourne (c’est bien, même plus besoin de sniffer de la colle pour planer, ca me fait faire des économies), mes voisins veulent me flinguer parce que je fais beaucoup de bruits genre “kof-kof-kof-theutheu-snirfleuuuuu-mouche” et j’ai du mal a me rappeler comment je m’appelle.

Tout ca, je peux supporter, mais s’il y a un truc vraiment au dessus de mes forces, c’est de là, être à une heure du matin encore debout, tout ca parce que ce qui me sert de tete à décider qu’en position couchée, désolée mais ca n’allait pas, revient te rassoir fissa, et une nouvelle rasade de produit pour le nez bourré à la cortisone ne fera rien. Quand à la libération prolongée de mon U du cumulo nimbus, ben ca fait déjà quelques temps qu’elle fait plus effet.
Alors présentement, là je donnerais mon royaume pour un fixe de cortisone.
C’est pas possible d’être k-o à ce point pour une bête petite sinusite de merde quand même si?

Bon ben alors je tenterai une méthode à l’égyptienne pour aller dégager tout ca. En tordant un pique à brochette doit surement y avoir moyen de moyenner.
Sur ce, je vais refaire une tentative de dodotage, parce tout à l’heure je commence à 8h quand même.

2 thoughts on “Pour ne pas changer”

  1. Bienvenue dans le monde des robi-nez…

    A force de courir en t-shirt par 3°C, mon corps a décidé de me rappeller à l’ordre. J’ai à peu près les mêmes symptôme que toi en un peu moins prononcés.
    Lundi, je suis passé chez le pharmacien pour lui demander du Rhinopront. Sa réponse m’a rappellé que "pharma-pharma le piss-pot est-là !" et moi ne nous voyons que les années impaires et bisextiles. "Mais Monsieur, ce produit n’existe plus depuis des années…"

    Par chance, j’ai reçu du Rhini-SAN. Après lecture de la documentation, j’ai réfléchi au fait que plus somnolent que je ne le suis actuellement, ça s’appelle endormi ! 🙂 La boîte est au chaud dans ma poche.

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