A ce qu’on apprécie revoir ces petits moments loose qu’on a vécu, et qui heureusement sont bien loin derrière soit.
Un peu comme celui qui m’est arrivé cette nuit.
Déjà, j’me bats toujours contre Uri-uri, c’te salope qui veut pas me lâcher.
Ensuite, les intestins pas contents se sont joint à la fête, rivalisant a coup de vidanges expresses et de colliques, mit nausées de la mort qui tue, promettant une réexpédition rapide du repas, mettant la question la plus palpitante qui soit à mon sujet à cet instant en un:
Est-ce que je vais parvenir à aller aux chiottes avant de:
- vomir
- m’évanouir
- dégazer au milieu du couloir
Croisant tout ce qui était croisables dans l’espoir de ne pas réveiller Lagluante© tandis que je mourrais de sueurs froides, douleurs et tension trop basse.
Heureusement, j’ai survécu. Mais j’avoue appréhender un brin la nuit prochaine…