Hier n”était pas une journée ordinaire. Après un réveil difficile, manque de sommeil, mal de crane et un Merlin moribond; il fut décidé d’aller terminer de mourir a l”Aqualibi, tant qu’à faire avec Setchaya, Unisprit et Titisan, parano’s renfort et une infame félonne encore sans surnom (faudrait lui en trouver hein, vais faire plancher mes esclaves dessus).
Donc après une préparation aléatoire ‘on y va a telle heure, ben non plus tard en fait, ben on est parti,vous foutez quoi là’ on arrive enfin a Wavres ou le reste de la troupe doit être depuis une grosse demie heure.
Les tests de flotaison de Laglue© sont plus que convainquants: impossible de la couler, elle apprécie les ptits tobogans, la piscine a vagues, la normale, celle super chaude qui fait des bulles et le coins des enfants.
Increvable, elle ne mene de l’une à l’autre, coule ses parents, fuit en hurlant devant un Setchaya déchainer, regarde nos joutes nautiques d’un drole d’air.
Pas mal d’enfants trainent dans le coin, avec des maillots bouée; certains de son age et font les attractions avec leurs parents. Un coup de gueule d’ailleurs à l’espèce d’irresponsable de père avec son gosse de peut être deux ans sous le bras, qui était manifestement effrayé apres un passage sur le tobbogan à 45° et frigorifié vu la jolie couleur bleue/mauve de ses lèvres, ainsi qu’a l’inaction du personnel qui laisse faire sans rien dire, mais siffle quand Laglue© est sur les épaules de son père dans la piscine.
C’est là qu’on reconnait facilement ceux qui vont là-bas pour faire plaisir à leur(s) enfant(s) et ceux qui y vont avec leur(s) enfant(s) mais pour se faire plaisir à eux d’abord et avant tout.Soit, c’est pas à moi de juger.
On m’informa alors qu’il y avait un des toboggan dit “familial” et pas mal de parents qui le font avec leur enfant dans les bras.
J’envois Merlin en éclaireur tester le toboggan d’abors seul puis avec Laglue© plus que surexitée a l’idée d’aller dans le “tube” et dont les rires durant la descente on du s’entendre de loin.
Après un passage avec son père, c’est a mon tour de la prendre dans les bras et d’avoir son rire et sa gaité plein les oreilles durant toute la descente, et a peine arrivées en bas l’encore de ravissement. (tu m’étonnes, vu qu’elle montait dans les bras -de son papa- c’est pas comme si elle s’essouflait pour ca).
Ce que j’en retiens de cette journée ou j’ai lachement abandonné ma fille à son père plusieurs fois; c’est que le rapido, c’est rien qu’un truc à partouze, qu’on se touche de partout et qu’on se colle-sert durant toute la descente quand on est pas projetés loin les uns des autres et que les bouées, c’est un truc trop super SASien ou on se retrouve toujours tous du même coté.
J’aurais pu pensé qu’après ces heures passées a paploufer dans l’eau, le fruit de mes entrailles serait mort crevé; plutot croire à de la neige en aout.
Pendant qu’on attendait les pizzas commandées, elle courait dans la plaine d’a coté en pleine forme; et ce matin elle s’est levée à 8h.
Personne ne sait ou sont les piles sur ce trucs?