Je suis un cas déseperé, je viens de m’en rendre compte à l’instant (enfin réellement j’avais quelques préquelles il y a quelques jours)
J’ai attendu [im]patiencement pendant plus de deux ans (deux ans et deux mois pour etre précise) pour pouvoir faire ca.
Depuis je jubile interieurement (même si ca se voit fort a l’exterieur) à chaque fois que ma fille s’assied sur mes genoux (et la je me dit, heureusement que je suis pas un mec pervers, sinon ca aurait été mal percu)
Mais de quoi je parle, vous demandez vous?
Gnyarg mouahahahahaha chicchicchic, *air jubilatoire et ravi* mais des veuchs de ma fille pardi.
Ses veuchs doux et soyeux, qui arrivent juste a la bonne longueur pour pouvoir lui faire une mini queue, mettre des pinces dedans, la coiffer toussa toussa kwa.
Depuis je n’arrete pas de lui faire de petites couettes et je suis la plus heureuse nana du monde (oui je sais il m’en faut peu)
Et c’est là que je suis perdue, je gagatise, je fonds, me liquéfie.
Je suis deviendue ce que j’éxecre le plus, une Mama qui s’extasie sur sa progéniture avec force mougnougnou.
Heureusement, elle est pas tout le temps comme ca, et mon naturel refait surface tres vite; comme hier par exemple.
Alors que je devais partir a mon courps de jap’ qui devint anthologique, ma fille visiblement mal lunée ne voulait pas me lacher.
J’ai donc du consciencieusement lui couper chaque doigt, chaque orteil pour m’en défaire et enfin partir sous ses cris “bras maman, bras maman”.
Ouf l’honneur est sauf, je suis donc toujours une mère indigne