Alors voici donc un petit commentaire sur mon ouek end de rêves.
Alors en fait, vu le post kilométrique que c’est, j’me permet de le scinder en plusieurs parties afin qu’il soit pas trop imbuvable et que vous ayez une chance de le lire jusqu’au bout, même si au finish peu de personnes sont interessées
-Q: C’était comment Londres?
-R: Douloureux, tres douloureux, je le sens encore maintenant.
-Q: Ah d’accord et la pluie?
-R: Ben juste le dimanche ca, puis de toute facon, on était a l’interieur presque tout le temps, le dimanche, alors bon
-Q: Mais encore?
-R: En fait, c’était vraiment génial: pour la premiere fois de ma vie, je n’ai pas été a la bourre pour prendre un train international (ou national d’ailleur), ni pour aucune des visites, bien sur par moment, il ne fallait pas trainasser, mais dans l’ensemble, y a pas eu le stress apocalyptique on-n’y-sera-jamais-a-temps-rolalalala-couront-couront-tres-tres-tres-tres-vite.
Bon ca c’est juste pour la logistique hein, en fait tout le monde s’en fiche de ça et je vais passer directement au racontage de ouek end et mes constatations sur London
-Q: Et bien, quoi donc comme constatation?
-R: Tout d’abord, c’est une tres grande ville, on peut y marcher des heures sans en quitter le centre (et par la même occasion, trouver des chaussettes, de bonnes chaussettes pour ne pas se trouer les pieds)
-Q: Des chaussettes?
-R: Ben oui, je suis sortie avec des chaussettes trop grande pour moi, empruntée à mon Namour, ca m’apprendra a prendre des chaussettes deux tailles au dessus de la mienne; et donc, je me suis retrouvée des les cinq premiers kilometres avec une ampoule en construction dejà bien avancée. J’ai donc maintenant de superbes chaussettes noires estampillées feet notes
-Q:Et apres?
-R: Et quoi alors, je t’en pose moi des questions? Hein? Bon soit, apres on s’est remis en route, les pieds nettement plus legers pour moi, quelques pieces en moins pour Namour et on s’est promener dans les b… dans les rues de Londres, un peu sans but, puis nos pas nous ont mener vers Bukingam où il a fallut que mon Namour me retienne de lancer des cahouettes aux gardes royaux…
-Q: Mais tu es carrément insortable…
-R: Ouais et ca c’est que le début: j’ai fais bien pire apres. On voulait avaler du kilometre, on est aller jusqu’a Picadilly voir le mur d’écran et s’abrutir dans une immense salle de jeu, même que pour la paysanne que j’étais, sortie de sa cambrousse, c’était super impressionnant, j’en avais la machoire par terre: elle s’étendait sur trois ou quatre étages, tous dédiés au jeux et a l’amusement: simulateur de tout poils, jeux pour les ptits zizi, grosse arme, pistes de danse importée tout droit du Japon, il y avait même un bowling et des auto-tamponeuses, sans parler des machines à sous et autres jeux engrangeant pas mal de pognons. Mais surtout il y avait des jeux de massacre: un super tape taupes délire et un massacreur de chiots; maillet en main, je leur ai donc regler leur compte à tous, avec force de “ho han, saloperie de truc tu m’auras pas” d’un distingué tout fabiesque et avec pour resultat de faire des scores lamentable.
L’homme de ma vie, lui, a réussi a faire exploser le high score et a gagner une partie gratuite. Il m’a même fait peur tellement il avait l’air violement bestial… même que les gens autours de nous n’en menaient pas large non plus.
Avec les tickets gagnés, j’ai meme recu un superbe porte clé: 1d6 bleu du plus bel effet, permettant de jouer a INS/MV n’importe où.
Après tant de péripéties, et un mal au molet droit qui commencait, il a bien fallu se reposer un peu; en s’assayant facon clodo au sous sol du game center, avec un super point d’observation sur les gens s’envoyant en l’air (a l’aide d’élastiques et de trampoline) un peu plus loin…
Une période plus calme nous a permis par apres d’observer la vie fascinante des écureuils dans St James Park avant de se diriger vers Harrods.
Bon, j’ai beaucoup à dire là. D’abord un résumé très général du week-end:
Ma version de l’histoire du “whack-a-mole”:
Donc dans cette immense salle de jeux, il y avait quelques classiques dont le fameux jeu où on doit écraser à coups de maillet en mousse les taupes sortant de leur trou. J’ai regardé Fabi jouer quelques parties (avec un succès mitigé) sans faire de commentaire parce que j’ai horreur qu’on me dise comment je dois jouer. Finalement, j’ai joué moi-même une partie afin de vérifier mes théories sur la technique de jeu. Et ça a marché !
L’idée était simplement que plutôt que de jouer en réactif (attendre qu’une taupe sorte pour taper dessus), il fallait frapper en continu quitte à frapper dans le vide la moitié du temps. Au moins, quand la taupe sortait, il suffisait de diriger la frappe plutôt que de se lancer.
Ceci dit, ça devait être impressionnant parce que quand j’ai eu terminé, j’ai relâché ma concentration, mon regard a quitté les taupes pour me resituer dans l’espace réel… et réaliser que tout le monde me regardait l’air effaré. En temps normal, j’aurais rougi de cet intérêt soudain pour ma personne mais là, l’immense ruban de tickets craché par la machine transformait la honte en fierté. Alors, bande de moules, vous voyez comment il faut jouer ?
PS: Le samedi nous avons marché un peu plus de 10km.