Texte: Courant à perdre haleine pour échapper à la créature qui les poursuit,dans cet enfer vert,le garçon saute dans le 1er trou qu’il aperçoit. Le bruit caractéristique d’un passage de portail et le changement de pression les prévient, mais trop tard. Manque de pot,le noir et le vide du couloir précédent l’enfer vert sont remplacés par ceux de l’espace et des étoiles. Et pendant qu’ils tourbillonnent dans le vide entre les étoiles Tenta ricane:
pas mal cette petite balade cosmique, une idée d’à quelle heure est le prochain repas?
Texte: Après avoir longtemps marché dans un néant vide et noir pire que les couloir de châtelet,les voici enfin dans ce qui semble être une jungle. Aux arbres immenses, tellement haut qu’ils n’en voient pas les cimes.
Pour tout dire,l’échelle des choses dans ce monde est telle qu’ils font office de fourmis.
Un bruit de toile froissée. Devant eux, ce qui ressemble à une immense chrysalide s’ouvre en deux. Une créature aux ailes mordorées, aux pattes griffues et aux dents pointues s’échappe du cocon. Elle les fixe de ses yeux à facettes, affamée.
Bonjour et bienvenue dans je conte jusqu’à toi, votre podcast d’histoire.
En ce 21 ième jour, voici le 21ième thème, (oui on passe au numérique sinon ca fait trop long à écrire :p ) toujours donné par Amandine de La Librairie Yokai, sur la liste de Nanochimères
Texte: Ça fait des heures,voire des jours ou des semaines qu’il marche, temps le temps semble avoir disparu, Tenta le démon sur l’épaule. Dans le silence. Mais depuis quelques milliers pas,s’il tend l’oreille, il a l’impression d’entendre quelque chose et au plus il se concentre, au plus la musique est facile à entendre……
Texte: Embarquez et laissez tous vos souvenirs ici. Le panneau était explicite, l’envie d’obtempérer nettement moins. Ils étaient au bord de l’eau et le brouillard au loin s’écartait de temps à autre pour révéler une île aux contours rendus flous par la brume. Des gémissements portés par le vent s’en échappaient.
Texte: Après avoir couru longtemps et vite pour fuir l’être surnaturel qui les poursuivait et aurait bien fait d’eux son dix heures, ou sont quatre heures, le temps était fort relatif par ici; ils s’arrêtèrent. Fourbus.
Devant eux, un bâtiment aux milles portes et fenêtres reflétaient les vies d’avant, les leurs et celle de tous les êtres vivants, passés, présents et à venir