Des vacances qui n’en sont pas

Parce que mine de rien, le temps passe un rappel des galères de vacances, voilà, voilà…

Bon déjà depuis le début, Merlin est hors course.
Pour le reste, la petite famille survit vaille que vaille entre les tensions de la famille aggrandie et les petits incidents qui émaillent ce genre de vacances.

Pour Laglue© en plus de ses cuisses rouges, douloureuses et effrayantes a voir [1], on peut rajouter une rencontre plein pot avec la porte vitrée, une peau sèche qui gratte et pèle et elle est devenue une proie de prédilections pour diverses bestioles piqueuses et mordeuses, au dernier recensement y avait presque une centaine de boutons en tout genre. You-pie.

Merlin se morfond dans la douleur aveugle et l’obscurité, rapport a la lumière qui lui fait mal [2], n’est de fait pas très présent, ni causant.

Lagluante© toujours pareil à elle-même est chiante et cuve son reste de pain au chocolat pur beurre qu’elle a looté pendant le trajet.
Et hurle. Et veut maman tout le temps. En plus comme c’est canicule, se reréveille la nuit. Et se rendort. Juste avant que sa soeur ne vienne se plaindre en pleurant que ses blessures lui font mal. Il est cinq heure du mat’ Paris s’éveille. You-pie encore, donc.

On était que le deuxième jour, et j’avoue j’ai crains qu’on finisse ces vacances avec l’un ou l’autre à l’hosto, vu comment c’était parti.
Heureusement, rien de tout ça, le plus grave truc qu’il y ait eu ensuite, ce fut une piqûre de taon pour moi [3], des coups de soleils, et une blessure au pied pour Merlin

La chance nous a finalement retrouvé le mardi soir/mercredi matin ou Merlin avait recouvré la vue, et Laglue© se déplacer sans avoir mal, tandis que Lagluante© hurlait un peu moins…

[1] Limite j’ai mal pour elle quand je la soigne
[2] On peut au passage observer sa transformation en vampire
[3] Aie bobo, tiens ca gonfle. Beacoup même, hô c’est joli cette couleur rouge-violacée